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News Littéraires – Decades: Joy Division + New Order – John Aizlewood | Romu Rocks

News Littéraires – Decades: Joy Division + New Order – John Aizlewood

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Tout a commencé il y a 45 ans, le 4 Juin 1976. La salle de concert est le Lesser Free Trade Hall, et les groupes qui jouent sont les Buzzcocks et les Sex Pistols.

L’entrée ne coûtait que 50 pence. Parmi le public, Morrissey (The Smiths), Mark. E. Smith (The Fall) et Mick Hucknall (Simply Red). Deux autres futures stars sont aussi là: Bernard Sumner et Peter Hook (Hooky) amis depuis l’école secondaire. Le lendemain, ils formeront un groupe et recrutent le chanteur et parolier Ian Curtis et le batteur Steven Morris. De Warsaw, le groupe se mue en Joy Division

Decades: Joy Division + New Order , c’est l’histoire d’une mort, d’amitiés détruites et de finances gâchées, mais avant tout l’histoire de Joy Division et New Order.

C’est aussi la saga de deux groupes qui ont fait une musique extraordinaire qui a défini leur époque et bouleversé le paysage musical. Au début, il y a Joy Division. Leur musique reflétait à la fois le paysage urbain aride de leur Manchester natal à la fin des années 1970 et le cœur du chanteur Ian Curtis. Ils restent à jamais définis à la fois par le suicide de leur chanteur extraordinaire et par deux albums proches de la perfection.

Des cendres de Joy Division est né New Order. Au plus fort du boom de la dance music, ils ont investi dans The Hacienda, un club de leur Manchester natal. Les files d’attente faisaient le tour du pâté de maisons…les dettes aussi.

Si Joy Division est l’obscurité, New Order est baigné de soleil. Leur musique mondialement populaire a comblé le gouffre entre l’indie et la danse et a inspiré une génération…

John Aizlewood fait à juste titre une analyse approfondie du duo fondateur de Joy Division, notant à quel point ils étaient à bien des égards opposés. Hooky portait sa sangle de guitare basse tandis que Bernard portait la sienne haute.

L’auteur examine comment Ian Curtis «est devenu leur guide musical » celui qui leur a fait découvrir Kraftwerk afin qu’ils ne soient plus simplement un autre groupe de punk. John Aizlewood examine même les influences musicales de Ian Curtis  et des des membres du groupe, y compris les influences jazz du batteur Steven Morris grâce à son père qui l’a emmené voir Count Bessie en concert…

La suite est à lire…

Un “Regret”, le livre Decades: Joy Division + New Order n’est disponible pour le moment qu’en version anglaise.

 

 

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