Après deux albums boudés par le public, Urban Hymns, porté par plusieurs singles, restera pendant douze semaines numéro 1 au Royaume-Uni entre et plus de 25 disques de platine à travers le monde y compris aux États-Unis.
Voici six choses que vous ne saviez (peut être) pas sur l’album de The Verve, Urban Hymns.
1. Urban Hymns aurait pu être un album solo.
Richard Ashcroft a affirmé que son idée de départ était de sortir les chansons qu’il avait composées sous son propre nom mais qu’il avait eu «peur» de se lancer en solo.
2. The Verve est devenu un groupe à 5.
A la sortie de l’album A Northern Soul (1995), The Verve se sépare. En 1996, Richard Ashcroft reforme le groupe sans Nick McCabe puis recrute Simon Tong à la guitare. Alors que l’enregistrement de l’album a commencé, Nick McCabe est rappelé par Richard Ashcroft et finit par accepter de les rejoindre. C’est un groupe formé de cinq musiciens qui se lance dans l’enregistrement de ce classique.
3. L’album a raté le Mercury Prize en 1998
La récompense annuelle qui consacre le meilleur album britannique de l’année a été attribuée en 1998 à Gomez pour son album, Bring It On. Le troisième album studio de The Verve faisait parti des nominés avec Pulp (A Different Class) et Massive Attack (Mezzanine).
4. Liam Gallagher figure au casting de l’album.
La chanteur d’Oasis est présent sur les chansons Come On (choeurs) et Space and Time (percussion).
Selon Richard Ashcroft, Liam Gallagher était déchainé à la fin du morceau Come On. « Il hurlait et frappait les murs de la cabine d’enregistrement, avec son tambourin ».
5. « Sonnet » ne devait pas sortir en single.
Richard Ashcroft a précisé le groupe ne voulait pas sortir la chanson en single. C’est le label qui leur a imposé de publier un quatrième single extrait de l’album.
6. « Bitter Sweet Symphony » n’est pas le plus gros succès de l’album
Si la chanson emblématique de l’album s’est classée à la deuxième place des singles des charts britanniques, The Drugs Don’t Work a elle obtenu la première place au Royaume-Uni.